Deux chercheurs ont montré comment il était possible de fabriquer de "faux souvenirs" d'actes délictueux, raconte le blog Passeur de sciences. Les participants à leur étude se sont vu présenter des méfaits inventés dont ils seraient à l'origine. Au cours de plusieurs entretiens, les deux tiers se sont progressivement appropriés ces fausses histoires. Ces résultats contribuent à expliquer comment des suspects finissent par avouer des délits ou des crimes qu'ils n'ont pas commis. Aux États-Unis, l'ONG Innocence Project mène des expertises ADN pour innocenter des personnes condamnées à tort. Dans 30 % des cas, elles avaient plaidé coupable.
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