De quels moyens dispose-t-on actuellement ?
Le droit français sanctionne depuis novembre l'apologie d'actes de terrorisme sur Internet par des peines allant jusqu'à sept ans de prison et 100 000 euros d'amende. Depuis un décret promulgué début février, les sites concernés peuvent faire l'objet d'un blocage administratif sans passer par un juge, comme pour les sites pédophiles. Les réseaux sociaux bénéficient d'un statut d'hébergeur qui les contraint à réagir « promptement » lorsqu'un contenu litigieux leur est signalé. « Les autorités sont prévenues » lorsque la situation l'exige, explique Facebook. Pas suffisamment, estime le gouvernement. Une enquête de Rue89 souligne que, dans la plupart des cas, ce sont les utilisateurs eux-mêmes qui contactent la police.
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