Les journalistes des Échos ont trouvé une méthode originale pour faire entendre leurs revendications : une grève des tweets. Depuis ce matin 9 heures et jusqu'à demain matin, ils ont cessé de tweeter sur leurs comptes personnels pour dénoncer un mélange des genres de la direction sur les réseaux sociaux. En cause, la mise en ligne le 4 mars par le compte officiel de la rédaction d'un tweet qualifié de « publicité déguisée ». On y voit le montage d'une fausse « une », célébrant les 60 ans de la Citroën DS, sans que la mention « publicité » soit signalée. La Société des journalistes, que nous avons interrogée, réclame que le service marketing soit écarté de la gestion du compte Twitter du quotidien économique.
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