Un an après l’annexion de la Crimée par la Russie, les actes d’intimidation se multiplient contre la minorité tatare (12 % de la population), hostile au rattachement à Moscou. Après plusieurs enlèvements d'opposants, la chaîne de télévision ATR, qui se veut la voix de cette minorité musulmane, doit cesser d’émettre demain. Sous licence ukrainienne jusqu’ici, elle a désormais besoin d’une licence russe, mais les autorités la lui refusent depuis plusieurs mois. Le nouveau président pro-russe de Crimée estime que cette chaîne est un média « ennemi ». Il est reproché à ses journalistes de faire des « remarques peu flatteuses sur la Crimée russe ».
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