Le Parisien a publié hier un article titré « L’épreuve du feu pour Najat », à propos de la grève des enseignants contre le projet de réforme du collège de la ministre de l’Éducation. Le ministre de la Ville Patrick Kanner y a vu un signe de familiarité, voire de sexisme.
« Quand je vois un grand journal titrer “Aujourd’hui c’est l’épreuve du feu pour Najat”, excusez-moi, mais ce sont des familiarités qui me choquent. Je considère que Najat Vallaud-Belkacem est une grande ministre de l’Éducation nationale, qu’elle mérite le respect de toutes et tous. […] On n’a jamais appelé les anciens ministres “Alain”, “Claude” ou “Luc”. Je pense qu’il y a eu des raccourcis autour de Najat Vallaud-Belkacem. […] Je parle de familiarité avec une ministre, une ministre et j’insiste là-dessus. » Patrick Kanner
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