Il y a désormais deux hommes pour diriger la ville de Rome. D’un côté, le maire Ignazio Marino, élu en 2013. De l’autre, Franco Gabrielli, préfet de la ville, nommé « délégué du gouvernement » à la mairie le 27 août en Conseil des ministres. Le gouvernement italien a jugé que le premier n’était pas en mesure de superviser la préparation de l’Année sainte extraordinaire [€], un événement organisé par le Vatican qui doit attirer 33 millions de visiteurs à partir du 8 décembre. Plus de 80 millions d’euros de chantiers seront lancés et les autorités craignent que la mafia en tire profit. Un vaste réseau d’attribution truquée de marchés publics impliquant l’ancienne administration romaine a été démantelé en décembre. Depuis, le président du Conseil italien Matteo Renzi estime que le maire de Rome n’a pas assez lutté contre la corruption.
Inscrivez-vous pour poursuivre votre lecture !
Essayez gratuitement Brief.me pendant 30 jours.
Sans engagement ni carte bancaire.
Trier par :
Brief.me est un média indépendant et sans publicité, on est très à cheval sur la protection de vos données personnelles. Elles restent bien au chaud chez nous. Nous avons cependant besoin de déposer des cookies pour vous offrir la meilleure expérience possible. Êtes-vous d’accord ?
Pour vous offrir la meilleure expérience sur notre site, nous utilisons des cookies.