L’habitude de consulter en permanence son smartphone nuit à la conversation, selon la sociologue américaine Sherry Turkle. Elle suggère dans le New York Times d’admettre sa vulnérabilité et d’adapter son comportement.
« Nos téléphones ne sont pas des accessoires, mais des appareils psychologiques puissants. Ils ne changent pas seulement ce que nous faisons, mais ce que nous sommes. Une solution pour rétablir les conversations serait de reconnaître à quel point nous sommes vulnérables à la tentation de la connexion. Nous devons nous engager à concevoir nos vies en prenant en compte cette vulnérabilité. Nous pouvons choisir de ne pas avoir notre téléphone en permanence sur nous. Nous pouvons le laisser dans une pièce et le consulter toutes les heures, pendant que travaillons sur d’autres choses ou parlons avec d’autres gens. Nous pouvons nous aménager des espaces sans téléphone à la maison ou au bureau, réservés à la conversation et à la solitude. » Sherry Turkle
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