Les véhicules Toyota sont populaires auprès des combattants du groupe État islamique. Dans leurs vidéos de propagande, les pick-up et 4x4 de la marque japonaise se succèdent, souvent équipés de mitrailleuses. Cette récurrence a poussé le département du Trésor américain à interroger le constructeur. Son unité antiterroriste veut savoir comment les djihadistes peuvent en acquérir autant. Le directeur de la communication américaine de Toyota, Ed Lewis, a expliqué à ABC News qu’il était impossible de maîtriser les canaux indirects ou illégaux de revente. Il rappelle que l’entreprise a une politique stricte consistant à ne pas vendre de véhicules à des entités qui pourraient s’en servir à des fins terroristes ou paramilitaires.
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