Le groupe État islamique (EI) n’est pas le seul à accaparer le patrimoine historique en Syrie pour financer ses opérations. Une étude, publiée hier dans le magazine américain spécialisé Near Eastern Archaeology, le démontre en s’appuyant sur les images satellites de 1 300 sites archéologiques syriens. Si 21,4 % d’entre eux ont été pillés dans des zones sous contrôle de Daech, 26 % l’ont été dans des régions tenues par les Kurdes ou d’autres groupes d’opposition au régime de Bachar el-Assad et 16,5 % dans des régions restées fidèles au président syrien. Daech se distingue par l’ampleur des destructions qu’il inflige au patrimoine : 42,7 % des dégradations dont il est à l’origine peuvent être qualifiées de massives.
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