Le portrait que L’Équipe consacre à Garry Kasparov s’ouvre par un gros plan sur le célèbre joueur d’échecs toisant le lecteur. Tout comme le personnage, l’ambiance est mystérieuse : fond noir, animations vaporeuses, images léchées. Le journal sportif relate le parcours du champion du monde indéboulonnable de 1985 à 1995. Derrière la façade de « génie arrogant et prétentieux » du natif de Bakou (Azerbaïdjan, ex-URSS), les fragilités sont nombreuses. En 2010 et 2014, il n’a pas pu prendre la tête de la fédération internationale des échecs solidement aux mains d’un proche de Vladimir Poutine. Opposé au dirigisme du président russe, il a quitté le pays en 2013, estimant ne plus y être en sécurité, pour s’installer à New York.
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