Les habitants de San Francisco ne devront pas limiter la location de leur logement à 75 nuits par an sur Airbnb (ou une autre plateforme de location entre particuliers) au lieu de 90 actuellement. Cette proposition, perçue comme un référendum anti-Airbnb, n’a recueilli hier que 45 % des voix lors d’un vote local. Soutenue par des associations de voisinage et un syndicat d’hôtellerie, elle visait aussi à renforcer l’encadrement des locations par la municipalité et à permettre aux voisins de porter plainte pour dépassement du quota de nuits autorisées. Le but : freiner la hausse des prix de l’immobilier en limitant le recours à la location touristique. Airbnb a investi 8 millions de dollars pour convaincre les électeurs de repousser la proposition, notamment via des campagnes d’affichage. D’autres villes américaines envisagent d’encadrer plus fortement les locations courtes. À Paris, depuis le 1er octobre, Airbnb a pris les devants et collecte directement la taxe de séjour auprès des locataires.
Inscrivez-vous pour poursuivre votre lecture !
Essayez gratuitement Brief.me pendant 30 jours.
Sans engagement ni carte bancaire.
Trier par :
Brief.me est un média indépendant et sans publicité, on est très à cheval sur la protection de vos données personnelles. Elles restent bien au chaud chez nous. Nous avons cependant besoin de déposer des cookies pour vous offrir la meilleure expérience possible. Êtes-vous d’accord ?
Pour vous offrir la meilleure expérience sur notre site, nous utilisons des cookies.