Facebook a annoncé que 5,4 millions de personnes avaient utilisé sa fonction « safety check » après les attentats de vendredi à Paris. Cet outil, « contrôles d’absence de danger » en français, a permis aux utilisateurs du réseau social présents en région parisienne d’informer en un clic qu’ils étaient en sécurité. Les habitants de Beyrouth, eux, n’y avaient pas eu accès la veille après les attentats revendiqués par Daech qui ont causé la mort de 43 personnes. Plusieurs internautes libanais ont exprimé leur indignation, ce qui a poussé Facebook à réagir samedi. Son patron Mark Zuckerberg a expliqué dans un message que les événements de Paris l’avaient conduit à étendre aux « désastres humains » cette fonction jusqu’à présent réservée aux catastrophes naturelles.
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