Regarder en boucle les images des attentats et des assauts des forces de l’ordre contribue à renforcer les symptômes du stress post-traumatique (troubles du sommeil, anxiété, détresse psychologique, dépression) chez les victimes ou les témoins directs du drame. Le flux de photos et de vidéos peut également déclencher des phénomènes de dépression et d’anxiété chez des personnes n’étant pas directement impliquées dans les événements. Robert Ursano, président de la Commission sur la dimension psychiatrique des catastrophes au sein de l’Association américaine de psychiatrie, recommande de ne pas s’exposer de façon continue à ces images.
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