Le groupe État islamique a revendiqué l’attentat, hier à Tunis, contre un bus de la sécurité présidentielle qui a fait treize morts, dont le kamikaze. Dans les heures qui ont suivi l’attaque, le président tunisien Béji Caïd Essebsi a réinstauré l’état d’urgence qui avait été levé début octobre.
Le bombardement de l’hôpital de Médecins sans frontières le 3 octobre à Kunduz en Afghanistan est « avant tout une erreur humaine », selon les conclusions de l’enquête américaine présentées aujourd’hui. L’établissement médical a été confondu avec « un autre bâtiment à quelques centaines de mètres de là », a expliqué le général John Campbell, qui commande les 13 000 soldats étrangers de l’Otan en Afghanistan.
Inscrivez-vous pour poursuivre votre lecture !
Essayez gratuitement Brief.me pendant 30 jours.
Sans engagement ni carte bancaire.
Trier par :