Une pétition visant à interdire l’entrée sur le territoire britannique de Donald Trump a récolté plus de 400 000 signatures en 48 heures. Elle fait suite aux propos du candidat à l’investiture républicaine pour la présidentielle américaine, qui a préconisé lundi « la fermeture totale des États-Unis » aux musulmans après la tuerie de San Bernardino, perpétrée par un couple de musulmans radicalisés. En Grande-Bretagne, chaque pétition dépassant les 100 000 signatures doit être étudiée par le Parlement, qui a ensuite la liberté d’organiser un débat. Cette décision sera prise le 5 janvier. Un porte-parole du Premier ministre David Cameron a expliqué que bannir Donald Trump serait sans doute inutile, celui-ci n’ayant planifié aucun voyage en Grande-Bretagne. Le ministre des Finances George Osborne s’est opposé à la pétition.
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