Donald Trump a reçu jeudi un soutien inhabituel pour un candidat à l’investiture républicaine aux États-Unis : celui de Vladimir Poutine. Le chef de l’État russe a qualifié de « très brillant et talentueux » celui que les sondages désignent depuis juillet comme le futur candidat des conservateurs à la Maison-Blanche. Le magnat de l’immobilier s’est réjoui de cette déclaration, lui qui avait affirmé en octobre à propos de Vladimir Poutine : « Je pense que je m’entendrais très bien avec lui. Je ne pense pas que nos pays auraient les problèmes qu’ils ont à l’heure actuelle. » Ces propos tranchent avec ceux du candidat républicain lors de l’élection précédente, Mitt Romney, qui en 2012 déclarait que la Russie était « un ennemi géopolitique ». Largement distancé par Donald Trump dans les intentions de vote, Jeb Bush a tenu un discours plus classique chez les Républicains : « Poutine n’est pas un allié, c’est un dictateur, c’est un tyran. »
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