Pour la troisième journée consécutive, les écoles de Téhéran étaient fermées aujourd’hui à cause de la pollution atmosphérique. Une mesure similaire a été prise à Arak et Ispahan, dans le centre de l’Iran. L’index de la qualité de l’air, considéré comme satisfaisant lorsqu’il est compris entre 0 et 50, était hier de 134. Selon les autorités, la pollution cause une mort prématurée sur sept en Iran. La capitale iranienne est régulièrement affectée, principalement en raison des gaz d’échappement des véhicules diesel et des deux-roues. Depuis son arrivée au pouvoir en août 2013, le président Hassan Rohani a fait interdire un carburant particulièrement polluant, mais le contrôle technique obligatoire des voitures que son gouvernement avait annoncé en mai 2014 n’a toujours pas été mis en place.
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