Pour la seconde année consécutive, la France a eu la semaine dernière la deuxième plus grosse délégation de start-up au Consumer Electronic Show (CES) de Las Vegas, grand-messe de l’innovation technologique. De quoi se réjouir ? Pas exactement selon Georges-Édouard Dias, cofondateur de la start-up Quantstreams et habitué de l’événement, qui critique sur Petit Web cette approche française quantitative.
« À faire du CES un open bar où tout le monde peut s’inscrire et bénéficier du drapeau de la nation, certes, on fait nombre, mais on ne crée pas l’émulation, on ne distingue pas les meilleurs : au contraire, on les étouffe dans la masse. Et on crée tout un business parallèle qui accompagne, moyennant finances, tout ce petit monde de novices sans savoir les coacher. Bref, on ne favorise pas l’entrepreneuriat, on l’exploite, on le banalise. » Georges-Édouard Dias
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