Pour acheter de grandes quantités de briques de construction en plastique Lego, il fallait jusqu’ici expliquer au fabricant danois à quoi elles seraient destinées. L’entreprise a annoncé hier qu’elle levait cette contrainte. En septembre, elle avait refusé de fournir l’artiste et dissident chinois Ai Weiwei, car elle ne voulait pas que ses produits servent à une œuvre politique. « Sidéré », le plasticien s’en était ému en postant sur son compte Instagram une photo de Lego jetés aux toilettes avec une référence à l’urinoir de Marcel Duchamp. De nombreux internautes avaient offert leurs briques à Ai Weiwei, qui a finalement réalisé une œuvre dédiée à la liberté d’expression avec des copies chinoises de Lego. L’artiste a qualifié le revirement de l’entreprise danoise de « petite victoire pour la liberté d’expression ».
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