Les enquêtes criminelles sont à la mode, constate le Guardian dans un article analysant notre fascination pour les assassinats et les enquêtes de police. La première saison de la série documentaire « Serial », sur un meurtre vieux de 15 ans, diffusée en 2014 par la radio publique américaine NPR, a connu un succès inattendu. Chaque épisode a été téléchargé plus de 8 millions de fois en podcast. Netflix a suivi l’exemple à la télévision en proposant depuis décembre « Making a Murderer », une enquête en dix épisodes sur un homme qui pourrait avoir été victime de deux erreurs judiciaires. L’engouement pour les histoires de crime faisait déjà le succès des gazettes du XIXe siècle et a inspiré de grands récits comme « De sang-froid » de Truman Capote. Pour le Guardian, la véritable nouveauté dans les récits criminels d’aujourd’hui, larges succès d’audience, est qu’ils ont le pouvoir de relancer des enquêtes et poussent même les internautes à s’improviser détectives.
Près de 99 % des communications intercontinentales, Internet comme téléphone, passent par des câbles sous-marins. Les Échos racontent le quotidien d’un navire chargé de leur pose et de leur maintenance, ainsi que de l’histoire de cette industrie.
Le gouvernement chinois prévoit de lancer d’ici 2020 un système de notation qui évaluera le patriotisme de chaque citoyen à travers son activité numérique. Rue89 raconte la genèse de ce projet et imagine l’influence de ces notes sur le quotidien des gens.
Merah, Kouachi, Coulibaly… Les auteurs français d’attentats se sont souvent radicalisés lors de séjours en prison. Une enquête de l’Obs montre une administration pénitentiaire démunie face à ce phénomène.
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