L’armée américaine s’est félicitée vendredi d’avoir détruit une cellule importante de l’organisation État islamique en Tunisie. Trois journalistes du New York Times regrettent que les victoires militaires prennent le pas sur les efforts diplomatiques.
« Chaque victoire contre le terrorisme souligne les limites de l’approche américaine dans les pays où le groupe État islamique est le plus implanté. L’action militaire n’est jamais contrebalancée par des efforts diplomatiques afin de résoudre les problèmes politiques fondamentaux qui permettent aux djihadistes de prospérer. En Libye, les efforts pour construire un gouvernement d’union nationale ont fait peu de progrès. En Irak, on constate le peu de succès dans l’apaisement du ressentiment des minorités sunnites. Et en Syrie, la “cessation des hostilités” annoncée n’a pas été suivie d’effet. » Declan Walsh, Ben Hubbard et Eric Schmitt
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