Le gouvernement nigérian a annoncé dimanche avoir démasqué près de 24 000 employés fictifs dans son administration. Il a pu découvrir ces fraudeurs en vérifiant l’identité de ses fonctionnaires à l’aide de mesures biométriques (empreintes digitales, forme du visage). Le procédé est de plus en plus utilisé en Afrique, notamment au moment des élections, pour éviter les votes multiples. La République démocratique du Congo a été la première à mettre en place un tel système en 2005 et a depuis été imitée par une vingtaine de pays. L’Ouganda a utilisé la biométrie pour la première fois lors de la présidentielle qu’il a organisée le 18 février. Celle-ci ne règle cependant pas tous les problèmes démocratiques : les observateurs européens ont ainsi dénoncé l’intimidation de l’opposition ougandaise.
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