Le terme de « jungle » contribue à déshumaniser les hommes et femmes qui s’entassent dans le camp de réfugiés de Calais, selon le rédacteur en chef adjoint du Guardian Joseph Harker, qui recommande de ne plus l’utiliser.
« Ce qui a commencé comme une simple plaisanterie entre un petit groupe de personnes a pris un sens complètement différent lorsqu’il a été repris par les médias internationaux, dans le contexte des histoires quotidiennes effrayantes sur les personnes qui traversent les frontières. […] Le langage obscurcit les histoires des migrants qui peuvent être des enseignants, des commerçants, des employés de bureau, leurs vies jetées dans les conflits, qui, après avoir bravé le continent pour trouver une vie meilleure, se retrouvent dans cet endroit malheureux. » Joseph Harker
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