Angela Merkel a pris un risque important en faisant de l’Allemagne un pays d’accueil pour les réfugiés. Sur sa page Facebook, l'essayiste français Raphaël Glucksmann considère que si le parti de la chancelière a subi hier un vote sanction dans deux des trois États-régions où se tenaient des élections, elle peut être fière d’avoir montré du courage politique.
« On peut penser ce qu’on veut de Merkel, de son attitude sur la Grèce par exemple, mais elle écrasait tous les sondages et a pris le risque de tout perdre pour suivre ses convictions, sur une question de principes. C’est extrêmement rare en politique. Et voir les démagogues français se réjouir de ses difficultés a quelque chose de révulsant. » Raphaël Glucksmann
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