Dans les heures qui ont suivi les attentats de Bruxelles hier, de nombreux comptes Twitter ont tenté de semer la panique en postant de fausses informations, comme l’a constaté Le Monde. Des comptes dans la mouvance du groupe État islamique ont ainsi annoncé que des bombes avaient été placées dans l’enceinte de la Commission européenne ou à l’intérieur de l’Université libre de Belgique, qui a d’ailleurs temporairement fermé ses portes. L’un des messages exhortait à ne pas transporter les victimes des attaques de l’aéroport et du métro au centre hospitalier de Saint-Pierre, car il aurait également été visé par les terroristes. Si Twitter a supprimé un grand nombre de ces comptes, d’autres ont immédiatement été créés pour poursuivre la diffusion de ces fausses informations.
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