Uber a accepté de verser 100 millions de dollars aux chauffeurs qui estimaient qu’ils devaient être requalifiés en salariés au lieu de travailleurs indépendants. Cet accord à l’amiable met un terme à deux actions de groupe lancées en Californie et au Massachusetts. Leur dénouement était très attendu, car le succès d’Uber dépend du statut flexible des chauffeurs : ils sont libres de travailler quand ils veulent et sont rémunérés en fonction des trajets effectués. Uber évite ainsi d’avoir à payer les avantages sociaux (assurance santé, retraite, chômage, congés payés, etc.). Le groupe se présente comme une simple plateforme qui met en relation des chauffeurs et des passagers et prend une commission de 20 % sur les courses.
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