Rousseff en sursis au Brésil. Plus de 70 % des députés brésiliens ont voté dimanche en faveur du processus de destitution de la présidente Dilma Rousseff. Le sort de celle-ci dépend désormais du vote des sénateurs en mai. « Dilma Rousseff est accusée d’avoir maquillé les comptes de l’État, mais pas d’être corrompue, explique Gaspard Estrada, directeur exécutif de l’Observatoire politique de l’Amérique latine et des Caraïbes de Sciences Po Paris. Or, si elle est destituée, elle sera remplacée par son vice-président, Michel Temer, qui, lui, est soupçonné de corruption. Et c’est le président de la Chambre des députés qui deviendrait vice-président du pays. Or, Eduardo Cunha est formellement accusé de corruption et blanchiment d’argent. »
Retour argentin. L’Argentine a emprunté mardi 16,5 milliards de dollars pour son retour sur le marché de la dette, auquel elle n’avait plus accès depuis 2001. « L’Argentine tourne définitivement la page de l’histoire du défaut de paiement, juge l’économiste argentin Dante Sica. Sortir de la classification de défaut de paiement peut motiver des entreprises qui avaient suspendu des projets de développement en Argentine. »
Inscrivez-vous pour poursuivre votre lecture !
Essayez gratuitement Brief.me pendant 30 jours.
Sans engagement ni carte bancaire.
Chaque soir, Brief.me vous explique l’actualité en 7 minutes de lecture.
Les faits. Pas de pub.
Brief.me vous permet d’y voir clair dans les grands sujets qui font l’actualité, de découvrir des initiatives positives et des recommandations pour vous cultiver et vous divertir.
Brief.me est un média indépendant et sans publicité. Vos données personnelles ne sont pas utilisées à des fins promotionnelles.
Essayez gratuitement et sans
engagement pendant 30 jours.
Trier par :