Le fonds souverain de l’État norvégien, le plus important du monde, a annoncé hier soir au Financial Times qu’il allait engager des poursuites à l’encontre de Volkswagen, dont il est le quatrième actionnaire. Son directeur général estime que l’affaire des logiciels truquant les résultats des tests antipollution a fait perdre plus de 500 millions d’euros au fonds, à cause de la chute du cours de Bourse (-20 % depuis les révélations mi-septembre). Le dividende par action a également été réduit de 98 % l’an dernier à cause des provisions dégagées par Volkswagen en vue des futures échéances (rappel de véhicules, procès, sanctions, etc.).
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