Le tribunal d’application des peines de Melun a rejeté ce matin la demande de libération conditionnelle de Jacqueline Sauvage. Cette femme de 68 ans avait été condamnée à dix ans de réclusion pour le meurtre de son mari violent puis partiellement graciée par François Hollande fin janvier. L’affaire a pris une dimension particulière, Jacqueline Sauvage devenant un symbole des violences conjugales. Le parquet, qui avait requis la remise en liberté, fera appel de la décision. La libération conditionnelle permet à un condamné de sortir de prison de manière anticipée tout en se pliant à un certain nombre d’obligations.
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