Rédacteur en chef aux Échos, Guillaume Maujean soutient les sanctions prises par les États-Unis ou l’Europe à l’égard de groupes comme Deutsche Bank ou Apple. À condition de ne pas verser dans le nationalisme.
« Les États ne veulent plus céder de terrain face aux multinationales. Au cours des deux ou trois dernières décennies, ils se sont fait déborder par la montée en puissance de quelques méga-entreprises qui ont surfé sur la mondialisation. […] La donne a désormais changé. Les États sont décidés à se faire respecter et à ne plus les laisser au-dessus des lois. […] L’histoire dira qui sortira vainqueur de ce combat de titans pour la souveraineté économique à l’ère du capitalisme 2.0. Il est nécessaire de le mener pour que la concurrence puisse s’exercer sainement entre les différents acteurs, petits et grands. Mais il doit l’être de façon équitable et impartiale, sans tomber dans un nationalisme à la Trump ou à la Le Pen. » Guillaume Maujean
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