À la lumière des deux affaires mettant en cause l’ancien président de la Commission européenne et une de ses anciennes commissaires, le professeur de droit Alberto Alemanno appelle dans Le Monde à réformer les règles de transparence dans l’Union [€].
« Indépendamment du résultat final, “l’affaire Barroso” et désormais “l’affaire Neelie Kroes” ont le mérite de dévoiler au public non seulement les limites d’un système de contrôle éthique des anciens commissaires, qui est opaque et incestueux, mais également l’absence de règles efficaces en matière de lobbying en Europe. Il est souhaitable que ces affaires sans précédent, accompagnées par la mobilisation citoyenne qu’elles induisent, entraînent non seulement des réformes attendues depuis longtemps, mais également un réalignement des comportements de nos dirigeants politiques au regard de ce que nous, citoyens, attendons d’eux. » Alberto Alemanno
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