Quand vous n’allez pas bien, mieux vaut se laisser aller à la tristesse plutôt que de lutter contre elle, conseille dans Le Figaro la psychiatre Stéphanie Hahusseau. Lorsqu’un de ses patients se met à pleurer, « cela signifie que le blocage dans lequel était coincé tout son système émotionnel est en train de se défaire », explique-t-elle. Elle recommande de s’inspirer du chagrin des enfants qui « atteint un pic avec de gros sanglots, puis redescend, se calme » et leur permet de passer à autre chose. Ou, comme l’écrit la romancière espagnole Lucia Etxebarria : « S’embarquer dans la tristesse, c’est comme de se laisser glisser en patins à roulettes le long d’une pente : impossible de prévoir combien de temps durera la descente, mais on sait parfaitement que tout s’arrêtera d’un seul coup. »
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