Après les victoires du Brexit et de Donald Trump, Georg Blume, correspondant à Paris de l’hebdomadaire allemand Die Zeit, voit dans la défaite de Nicolas Sarkozy celle du populisme. Un soulagement pour Berlin et Bruxelles, estime-t-il, à condition que François Fillon soit aussi efficace face à Marine Le Pen.
« À Bruxelles et Berlin, on a dû pousser un ouf de soulagement. Car dans cette élection, c’est le populisme qui a perdu. Cette fois, seul Sarkozy l’incarnait et il a nettement perdu. La question est maintenant de savoir si Fillon, qui jusqu’à présent n’avait pas vraiment fait ses preuves comme meneur de campagnes électorales, fera le poids dans la bataille qui, selon toute vraisemblance, l’opposera à la dirigeante du parti d’extrême droite Marine Le Pen. » Georg Blume
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