Chaque fois qu’il joue sur scène « Love Me Do », le titre qui lança les Beatles en 1962, Paul McCartney doit verser des royalties à la société d’édition musicale Sony ATV Music Publishing. Pour mettre fin à cette situation, il a porté plainte mercredi contre l’entreprise, qui détient les droits de 200 morceaux qu’il a cosignés avec John Lennon. ATV, aujourd’hui propriété de Sony, avait acquis le catalogue des Beatles en 1970 en rachetant la société de leur ancien manager Brian Epstein. Le musicien s’appuie sur une loi américaine de protection des droits d’auteur selon laquelle tout artiste peut prétendre récupérer les droits de ses œuvres 35 ans après leur première édition, ou 56 ans après pour les œuvres datant d’avant 1978.
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