Fillon « jusqu’au bout ». Annonçant sa convocation le 15 mars en vue d’une mise en examen, François Fillon a dénoncé mercredi un « assassinat politique », une violation de l’État de droit et réaffirmé son intention d’aller « jusqu’au bout ». Plusieurs dizaines d’élus et de proches ont depuis annoncé qu’ils lui retiraient leur soutien. Bruno Le Maire et Thierry Solère, respectivement participant et organisateur de la primaire de la droite, ont annoncé leur démission de l’équipe de campagne. Dans une interview au Monde, l’historien Pierre Rosanvallon estime que les propos de François Fillon, « agressifs à l’égard de la justice et de la presse », marquent « un tournant populiste dans la campagne présidentielle » [€]. Il regrette « que ses amis politiques ne le critiquent pas sur le fond », mais « lui reprochent surtout de ne pas avoir tenu sa promesse de renoncer s’il était mis en examen ».
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