« Le gouvernement néo-zélandais a une approche de l’immigration qui place les Kiwis d’abord », a déclaré ce matin le ministre de l’Immigration néo-zélandais en utilisant le surnom des habitants de son pays. Il a ainsi annoncé que le salaire nécessaire pour prétendre à un visa de travailleur qualifié serait réévalué et défini au niveau du revenu médian néo-zélandais. Le but affiché est d’éviter à la population locale une concurrence étrangère moins chère sur le marché du travail. Cette annonce survient au lendemain de celle du Premier ministre australien qui a promis un durcissement des conditions d’obtention du visa de travail (moins de métiers accessibles, augmentation du niveau d’anglais exigé, etc.). En France, un employeur voulant faire venir dans le pays un salarié étranger non européen doit prouver qu’il n’a pas pu trouver la main-d’œuvre nécessaire sur le marché national.
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