La chroniqueuse du Washington Post spécialisée dans la musique Alyssa Rosenberg estime que les terroristes nous placent face à des choix, individuels et collectifs, complexes en s’en prenant à des lieux culturels.
« Les attaques sur des institutions culturelles, plutôt que des aéroports ou des installations militaires, font sans doute partie du même djihad. Pourtant, le fait de cibler des lieux culturels a un effet profondément différent. Un aéroport est une étape nécessaire. […] À l’inverse, nous choisissons d’aller à des concerts, dans des cinémas, des stades ou des restaurants, pour le plaisir qu’ils nous procurent et la communion que nous sentons en présence de notre communauté, qu’il s’agisse des homosexuels à Orlando ou des amateurs de football à Paris. Nous ne pouvons pas sécuriser chaque espace public comme nous l’avons fait avec les aéroports, à moins de devenir une société radicalement différente. » Alyssa Rosenberg
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