Le ministre des Transports indonésien a plafonné samedi les tarifs kilométriques des compagnies de voitures avec chauffeur. Des montants de 0,2 euro minimum et 0,4 euro maximum par kilomètre sont désormais imposés aux VTC afin d’aligner leurs prix sur ceux des principales entreprises de taxis du pays. Cet encadrement s’applique à des services comme Uber, mais aussi Grab ou Go-Jek, présents uniquement en Asie du Sud-Est. L’an dernier, le gouvernement indonésien avait déjà rendu obligatoire l’obtention d’un certificat de sécurité routière et d’un permis spécial. Uber, dont les tarifs peuvent varier fortement en fonction de la demande, a déjà accepté l’an passé d’encadrer ses prix à Delhi, en Inde, et aux États-Unis en cas d’événement extraordinaire (comme lors d’une tempête de neige à New York, en 2015).
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