À la demande de la famille de Simone Veil, l’hébergeur OVH a fermé un site internet utilisant le nom de l’ancienne ministre de la Santé (simoneveil.com) qui avait porté la loi autorisant l’interruption volontaire de grossesse (IVG) en 1974. Sous couvert d’hommage à la femme politique décédée le 30 juin, le site était en fait une opération de communication de l’association antiavortement Les Survivants suggérant que les autorités avaient détourné son combat pour le droit des femmes dans un but de « promotion » de l’IVG. Ces militants s’étaient fait remarquer en avril et en juin en collant sans autorisation des affiches contre l’avortement dans les espaces dédiés à la publicité du métro et des bus parisiens. Les Survivants ont proposé à plusieurs médias d’utiliser gratuitement un dessin représentant le visage de Simone Veil à condition de mentionner l’adresse de leur site consacré à l’ancienne ministre.
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