Depuis le 1er janvier 2017, la vente des pesticides chimiques considérés comme les plus à risque, tels que le Roundup, ne doit plus être effectuée en libre-service dans les magasins. L’association nationale de défense des consommateurs et usagers CLCV a pourtant révélé mardi, après une enquête menée du 31 mars au 31 mai dans 158 points de vente répartis sur le territoire, que 44 % des espaces visités ne respectaient pas cette interdiction. La mise à disposition d’un vendeur spécialisé pour apporter des conseils sur l’utilisation de ces produits est également obligatoire, mais, dans 36 % des cas où un vendeur a pu être abordé, il ne délivrait « aucun conseil » ou un « conseil limité. ». La CLCV déclare avoir saisi le ministère de la Transition écologique pour demander un renforcement des contrôles.
Inscrivez-vous pour poursuivre votre lecture !
Essayez gratuitement Brief.me pendant 30 jours.
Sans engagement ni carte bancaire.
Trier par :
Brief.me est un média indépendant et sans publicité, on est très à cheval sur la protection de vos données personnelles. Elles restent bien au chaud chez nous. Nous avons cependant besoin de déposer des cookies pour vous offrir la meilleure expérience possible. Êtes-vous d’accord ?
Pour vous offrir la meilleure expérience sur notre site, nous utilisons des cookies.