Bruce Feiler, un essayiste américain, se rappelle le moment où il a placé devant lui une carte pour écrire un mot de condoléances à un couple qui avait perdu un enfant. Elle est restée blanche pendant deux heures. Il a ensuite interrogé des personnes ayant connu un deuil pour en tirer quelques conseils. Dans un article publié par le New York Times, il recommande ainsi de partager un souvenir chaleureux ou inspirant avec la personne décédée, d’éviter les comparaisons avec sa propre situation (« Je sais ce que tu traverses »), de ne pas se contenter des réseaux sociaux et de rester présent les semaines et les mois qui suivent le décès. Mieux vaut dire qu’on ne sait pas quoi dire à une platitude ou à ce mot reçu par une femme ayant perdu son mari : « Au moins vous n’étiez pas mariés depuis si longtemps que tu ne puisses pas te passer de lui. »
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