Le président américain, Donald Trump, a accepté hier soir une rencontre, d’ici fin mai, avec le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un, ce dernier s’engageant à ne plus effectuer de test nucléaire ou de missile pendant la durée des négociations. Victor Cha, ancien directeur pour l’Asie du Conseil de sécurité nationale américain, estime dans le New York Times que les sanctions américaines ont joué un rôle, mais que la Corée du Nord n’a pas renoncé à ses ambitions nucléaires.
« Si le gouvernement sud-coréen a le mérite d’avoir changé une crise imminente en opportunité, on ne peut nier que l’apparent changement d’avis de Pyongyang résulte en partie de la morsure économique des sanctions décidées par M. Trump, sa campagne de “pression maximale”. Les Nord-Coréens ont aussi probablement été surpris par les informations rapportant récemment que l’administration Trump envisageait des options militaires. Mais M. Kim a sûrement estimé qu’une pause dans les essais nucléaires de son pays n’éroderait pas significativement la capacité de Pyongyang de faire avancer son programme nucléaire. » Victor Cha
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