En 2014, le Premier ministre chinois, Li Keqiang, déclarait la « guerre à la pollution ». Quatre ans plus tard, l’Institut de politique énergétique de l’Université de Chicago, aux États-Unis, démontre dans une étude publiée hier que la pollution de l’air a été réduite en Chine. Entre 2013 et 2017, les chercheurs ont analysé les données de 204 moniteurs répartis sur un territoire concentrant près de 70 % de la population chinoise. Les taux de particules fines (PM 2,5), capables de pénétrer au plus profond de l’appareil respiratoire, y ont été réduits en moyenne de 32 %. Pour lutter contre la pollution de l’air, la Chine a fermé plusieurs centrales à charbon et interdit la consommation de cette matière première dans 28 villes. L’interdiction a cependant été partiellement suspendue cet hiver en raison du retard dans l’installation de chauffages au gaz et à l’électricité.
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