La Coupe du monde en Russie pose un dilemme aux fans de foot : puis-je ou non suivre la compétition au travail ? Le journaliste du Monde Clément Martel évoque quelques astuces pour ne pas se faire licencier par amour du ballon rond. Selon le Code du travail, le salarié « est à la disposition de l’employeur » et ne peut « vaquer librement à des occupations personnelles » pendant son temps de travail. Mais il peut tout de même jeter un œil au score pendant ses pauses, sur le matériel de l’entreprise (sauf règlement interne) ou sur ses appareils personnels. Suivre un match sur son temps de travail expose en revanche à des sanctions allant, en théorie, de l’avertissement au licenciement. En pratique, cette dernière sanction est rare, à moins que le salarié ait déjà commis des fautes ou que, comme un vigile de supermarché en 2014, il détourne une caméra de vidéosurveillance afin de zoomer sur un écran télé.
Inscrivez-vous pour poursuivre votre lecture !
Essayez gratuitement Brief.me pendant 30 jours.
Sans engagement ni carte bancaire.
Trier par :