Donald Trump a rencontré hier en Finlande son homologue russe, Vladimir Poutine. Correspondant du New York Times à la Maison-Blanche, Mark Landler estime que les déclarations du président américain sont préjudiciables aux États-Unis.
« Le président Trump, qui défie allégrement les normes du comportement présidentiel, s’est rendu lundi à Helsinki, en Finlande, quelque part où aucun de ses prédécesseurs n’était jamais allé : il a privilégié les explications d’un dirigeant étranger hostile aux conclusions de ses propres agences de renseignement. […] Au lieu de défendre les États-Unis contre ceux qui les menaceraient, il s’en est pris à ses propres citoyens et institutions. Au lieu de défier M. Poutine, un adversaire dont les méfaits contre les États-Unis sont documentés, il l’a loué sans réserve. Ses déclarations étaient si éloignées des objectifs de la politique américaine, si contradictoires avec le reste de son administration, si inexplicables à tant de niveaux qu’elles ont fait émerger la question qui a longtemps guetté M. Trump : est-ce que la Russie a quelque chose sur lui ? » Mark Lendler
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