Mercredi, lors d’une conférence de presse suivant les élections de mi-mandat, le président américain, Donald Trump, a traité Jim Acosta, un journaliste de CNN qui tentait de lui poser une deuxième question, de « personne grossière, terrible », avant de faire retirer son laissez-passer à la Maison-Blanche. La journaliste politique britannique Jane Merrick estime dans CNN que les autres journalistes devraient se mobiliser avec vigueur.
« Ce n’est pas parce que l’emportement du président mercredi était en ligne avec sa description des médias comme des “ennemis du peuple” que cela devrait être toléré. La décision de Trump de révoquer le laissez-passer d’Acosta à la Maison-Blanche est une aggravation scandaleuse de sa campagne contre un questionnement solide de la part de médias libres. En réponse à un homme qui traite sa présidence comme s’il s’agissait d’une série d’émissions de téléréalité bizarres, l’ensemble des correspondants de presse à la Maison-Blanche devraient s’en aller. Refuser de parler de lui. Le retirer de l’antenne. Annuler son show. Le laisser se déchaîner dans la chambre d’écho de Twitter, c’est tout ce qu’il mérite. » Jane Merrick
Inscrivez-vous pour poursuivre votre lecture !
Essayez gratuitement Brief.me pendant 30 jours.
Sans engagement ni carte bancaire.
Trier par :