L’Administration chinoise du cyberespace (ACC) a annoncé hier avoir lancé une campagne de six mois pour lutter contre les « informations nocives » sur Internet. L’ACC contrôlera certains sites, applications mobiles, services de messagerie instantanée et plateformes de diffusion en direct. Elle poursuivra les responsables et fera fermer des sites ou des comptes d’utilisateurs s’ils diffusent des contenus à caractère pornographique, vulgaire ou violent, mais aussi des rumeurs, des menaces ou s’ils encouragent « un mode de vie malsain ». En 2016, la Chine avait déjà adopté une loi sur la cybersécurité interdisant tout contenu visant à « renverser le système socialiste ». Dans un rapport publié en octobre, l’ONG américaine de défense de la liberté d’expression Freedom House estime que la Chine est le pays qui a le plus réduit la liberté sur Internet en 2018.
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