La Première ministre britannique, Theresa May, et le dirigeant du Parti travailliste, Jeremy Corbyn, ont poursuivi aujourd’hui leurs discussions pour trouver un accord sur le Brexit. L’éditorialiste du New York Times Thomas Friedman estime que les parlementaires du pays ont tort de chercher une solution parfaite qui ne peut exister.
« Ce que nous voyons, c’est un pays déterminé à commettre un suicide économique mais qui ne parvient même pas à s’accorder sur la façon de le faire. C’est un échec cuisant des dirigeants politiques. […] Sérieusement, le Royaume-Uni, la cinquième économie du monde – un pays dont les élites ont créé la démocratie parlementaire, la banque et la finance modernes, la révolution industrielle et le concept de mondialisation – semble absolument décidé à quitter l’Union européenne, le plus grand marché mondial pour la libre circulation des marchandises, des capitaux, des services et de la main-d’œuvre, sans plan bien défini, voire sans plan du tout. Les députés, tant conservateurs que travaillistes, continuent à rejeter les plans les uns après les autres, cherchant la solution parfaite, la sortie indolore de l’UE. Mais elle n’existe pas, car il n’y a pas de solution à la bêtise. » Thomas Friedman
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