Les protections hygiéniques sont des objets du quotidien pour beaucoup de femmes en France, mais la plupart d’entre elles contiennent des substances chimiques potentiellement toxiques. L’agence nationale de sécurité sanitaire Anses a relevé l’an dernier dans des tampons et des serviettes la présence de substances qu’elle qualifie de « perturbateurs endocriniens suspectés », même si celles-ci n’excédaient pas les seuils sanitaires. L’Anses a recommandé aux fabricants d’éliminer ou de réduire au maximum la présence de ces substances chimiques. Dans son blog consacré à la santé et à l’écologie, Aline Gubri conseille quant à elle d’utiliser des serviettes lavables ou des « culottes de règles » absorbant les flux à la place des protections hygiéniques classiques. Ces solutions alternatives sont réutilisables après un simple lavage à la machine, ce qui les rend plus écologiques et économiques.
Inscrivez-vous pour poursuivre votre lecture !
Essayez gratuitement Brief.me pendant 30 jours.
Sans engagement ni carte bancaire.
Trier par :