Si vous souhaitez acquérir des lunettes de soleil qui ne soient pas uniquement esthétiques, quelques précautions s’imposent selon la DGCCRF, une administration chargée de la répression des fraudes. La première chose à vérifier est la présence « de façon visible, lisible et indélébile » du logo « CE », qui prouve le respect de certaines exigences de construction et de performances. La DGCCRF rappelle ensuite que les verres sombres, s’ils sont efficaces contre l’éblouissement, ne protègent pas nécessairement contre les UV. La classe de protection des verres, comprise entre 0 et 4, doit figurer sur les lunettes ou sur la notice. À 0, il s’agit d’accessoires purement esthétiques. Les modèles classés 1 ou 2 sont modérément filtrants. La catégorie 3 est la plus adaptée à la plage ou au ski, tandis que la catégorie 4 est à réserver aux situations extrêmes comme les glaciers.
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